Covid-19 : le gouvernement pointe du doigt les « mauvaises langues »
Le porte-parole du gouvernement s’en est pris hier soir à la RTNB (Radio Télévision Nationale du Burundi) aux « détracteurs » qui sévissent sur les réseaux sociaux. Ceux pour qui les autorités burundaises cacheraient à l’opinion de probables cas déjà testés positifs dans le pays. (SOS Médias Burundi)
Prosper Ntahogwamiye a évoqué certaines « mauvaises langues » déclarant que le Burundi « n’a pas de matériel » pour tester le coronavirus ou que le gouvernement « cache » à l’opinion la présence du virus déjà au Burundi.
Le pays dispose d’un matériel adéquat et suffisant pour tester ce virus, en témoigne le cas de l’enseignante de l’École Française et d’autres cas où les résultats montrent qu’il n’y a pas de cas de coronavirus.
M. Ntahogwamiye
Le gouvernement a mis en garde toute personne qui « désoriente, manipule l’opinion ou devance le gouvernement en prenant des mesures hâtives, extrêmes ou unilatérales contraires à celles déjà prises ou non encore prises par les autorités ».
M. Ntahogwamiye a cité l’exemple de la fermeture de l’École Française et l’École Belge.
En conclusion de cette intervention, le porte-parole a imploré le Bon Dieu « à continuer de protéger le Burundi ».
5 Comments
Kwizera
mars 27, 15:33Montrez-nous les signatures du contrat passé avec Dieu.
Deby Yakara
mars 28, 08:55Le Burundi n’a pas des politiciens. Malheur aux burundaises et autres qui vivent dans ce pays.
Bin
mars 28, 10:13Tu es fou!
Bin
mars 28, 10:15Tu es simplement fou!!!
Laisses Dieu en dehos de tes commentaires insenses sinon attends toi au pire!
Mka
mars 28, 11:30Que le Dieu nous protéger